Mobilisation pour la réouverture du Planning familial 31
Françoise Laborde, Sénatrice PRG de la Haute-Garonne, Vice-Présidente de la Délégation aux Droits des Femmes du Sénat, alerte la Ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des Femmes suite à la fermeture du Planning familial 31. Inquiète, elle lui demande le versement d'une subvention à titre exceptionnel pour sauver cette association d'intérêt général et pérenniser ses activités au service des femmes du département.
Depuis 1974, l'établissement qui accueille 1400 personnes par an, tient un rôle essentiel : information, prévention, conseils conjugaux ou suite à des violences, des viols, des interruptions volontaires de grossesse ou encore groupes de parole. Aujourd'hui, la pérennité de ses activités est remise en question pour des raisons financières.
Le besoin de financement d’urgence atteint aujourd’hui la somme de 51 000 € dont 31 000 pour frais de justice. Aucune solution n’a pu être trouvée pour pallier ces dépenses
"Cette chronique d’une mort annoncée se joue déjà depuis plusieurs années mais, au lendemain de la célébration du 40e anniversaire du vote de la loi Veil en faveur du droit à l’IVG, il serait incompréhensible que la principale structure sur laquelle repose la mise en œuvre concrète de ce droit soit contrainte de fermer ses portes à Toulouse"... "c'est pourquoi, je compte mettre tout en oeuvre pour trouver une solution afin de pérenniser les activités du Planning familial dans notre département, j'en appelle en premier lieu à toutes les collectivités territoriales pour se mobiliser aussi."
Le combat des femmes pour le droit à disposer de leur corps est un combat permanent en France et dans le monde mais ce droit reste fragile. Ce combat a un prix. Il serait paradoxal que le Planning familial ferme ses portes au moment où des annonces ambitieuses et une campagne nationale de soutien en faveur des structures d’information pour les femmes viennent d'être annoncées."
Françoise Laborde, Sénatrice PRG de la Haute-Garonne, Vice-Présidente de la Délégation aux Droits des Femmes du Sénat, alerte la Ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des Femmes suite à la fermeture du Planning familial 31. Inquiète, elle lui demande le versement d'une subvention à titre exceptionnel pour sauver cette association d'intérêt général et pérenniser ses activités au service des femmes du département.
Depuis 1974, l'établissement qui accueille 1400 personnes par an, tient un rôle essentiel : information, prévention, conseils conjugaux ou suite à des violences, des viols, des interruptions volontaires de grossesse ou encore groupes de parole. Aujourd'hui, la pérennité de ses activités est remise en question pour des raisons financières.
Le besoin de financement d’urgence atteint aujourd’hui la somme de 51 000 € dont 31 000 pour frais de justice. Aucune solution n’a pu être trouvée pour pallier ces dépenses
"Cette chronique d’une mort annoncée se joue déjà depuis plusieurs années mais, au lendemain de la célébration du 40e anniversaire du vote de la loi Veil en faveur du droit à l’IVG, il serait incompréhensible que la principale structure sur laquelle repose la mise en œuvre concrète de ce droit soit contrainte de fermer ses portes à Toulouse"... "c'est pourquoi, je compte mettre tout en oeuvre pour trouver une solution afin de pérenniser les activités du Planning familial dans notre département, j'en appelle en premier lieu à toutes les collectivités territoriales pour se mobiliser aussi."
Le combat des femmes pour le droit à disposer de leur corps est un combat permanent en France et dans le monde mais ce droit reste fragile. Ce combat a un prix. Il serait paradoxal que le Planning familial ferme ses portes au moment où des annonces ambitieuses et une campagne nationale de soutien en faveur des structures d’information pour les femmes viennent d'être annoncées."